Le printemps Arabe a été rendu possible par plusieurs facteurs à la fois internes et externes qui ne peuvent pas être dissociés de la volonté des peuples de briser le mur de la peur, des’affirmer pour faire valoir leurs droits et de s’insurger contre « la hogra » prééminente. Si ce vent de révolten’a pas eu raison dans l’immédiat de la résistance du pouvoir marocain, sa violence finit parfendre sa solide armure et la faire chanceler. Cet article tente d’analyser l’impact du printemps arabe sur le Maroc, les traits communs et les divergences entre les révolutions arabes à travers deux œuvres de deux auteures marocaines de l’extrême contemporain, deux intellectuellesque différencient l’âge et le milieu social dans lequel elles évoluent.